Voir aussi la présentation de saison
et les trois annonces : deux départs, une nomination
« C’est joli », disent certains. « Pourquoi pas ? », demandent les autres. Mais rares sont ceux qui osent demander : « Qu’est-ce que cela signifie ? ».
Pourtant, les signes qui s’offrent au regard dès la couverture de la plaquette, bien visibles en blanc sur fond ocre très provençal, ne laissent pas d’interroger. Et les litres des 21 concerts s’affichent ainsi dans la plaquette.
Ces signes mystérieux se veulent en fait le symbole de l’universalité, au même titre que l’ensemble de la saison, qui se réclame de la même démarche. C’est l’alphabet phonétique international, transcription des sons du langage oral ; élaboré à la fin du XIXe siècle par des linguistes français et anglais, révisé en 2020, ce langage codé est censé être universel, dans la mesure où chaque transcription graphique d’un son est lu à l’identique dans la quasi-totalité des langues du monde… indépendamment du sens des mots ainsi transcrits.
Mais comme l’espéranto, cette « universalité » suppose la maîtrise de ce code.
N’importe, le symbole est intéressant…
G.ad.
Laisser un commentaire