Cour Saint-Louis, Orange. Repli, en cas de mauvais temps, au Palais des Princes. Mardi 2 juillet à 21h30. Durée : 1h30
Ramón Vargas, ténor
Dans le cadre intime de la cour Saint-Louis, les Chorégies proposent régulièrement des « grands récitals » qui, dans une chaleureuse proximité avec le public, permettent d’apprécier dans toutes leurs nuances les grandes voix d’aujourd’hui. Et l’horaire a été opportunément déplacé, comme le concert des Révélations de l’Adami (mardi 16 juillet) à 21h30, pour éviter l’écrasant soleil de fin d’après-midi.
Le ténor mexicain Ramon Vargas né en 1960 est toujours là. Toujours très sollicité sur toutes les scènes, il n’a jamais déçu son public. Il a su ménager sa voix en abordant avec prudence des rôles de plus en plus « lourds », avec une soixantaine de rôles à son répertoire. Sa carrière internationale dure avec succès, depuis qu’il a été appelé au Met en 1992 pour remplacer Luciano Pavarotti. Les Chorégies l’ont déjà accueilli en 2013 dans Un ballo in maschera (Riccardo/Gustavo III), et quelques années plus tôt dans le Requiem de Verdi.
Suivront, dans le même cadre des « grands récitals », trois ténors (8 juillet), à la suite du trio mythique de 1990 (Luciano Pavarotti, Placido Domingo et José Carreras), et des trois ténors français la saison dernière à Avignon : à Orange, ce seront Pasquale Ferraro, Vincenzo di Nocera, et Giandomenico Capuccio, accompagnés au piano par Kira Parfeevets. (G.ad.)
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