Dimanche 14 juillet
Ne manquez pas trois pièces du festival 2018 encore à l’affiche :
- Le double de Dostoïevski : une troupe excellente.
- Le songe d’une nuit d’été, au Petit Louvre.
- L’île de Tulipatan. Offenbach et les comédiens s’amusent encore plus que nous. C’est épatant !
Une première semaine du festival 2019:
- Obligatoire par les temps qui courent : Primo Levi et Ferdinand, Présence Pasteur ; si on ne peut n’en voir qu’une, c’est celle-là.
- Orphelins, au Gilgamech. Une vérité tragique qui se révèle peu à peu. Excellents comédiens.
- Magie lente, à l’Artephile. Un psy aide un homme à trouver le nom de l’événement déclencheur de sa dépression. Remarquable comédien.
- Avec le paradis au bout, au Grand Pavois. Quatre jeunes nous remercient d’avoir à nettoyer les poubelles de ce début de siècle et d’affronter ce qui va suivre. De la colère, de l’amertume, de l’humour et une énergie formidable.
- T’es toi, à la Condition des soies. Elle est belle, drôle, partout en même temps sur la scène, pour nous faire rencontrer sa famille et tous ceux qu’elle a croisés dans son combat pour devenir comédienne. Au bout d’une heure et demie, elle est fraiche comme un gardon, et nous, épuisés d’avoir galopé avec elle.
La suite au prochain numéro. Amitiés. Denise.
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